• Stéphane Thidet - Détournement

    © Stéphane Thidet (Photographie de Benjamin Barda)

    du 30 mars au 31 août 2018  à la Conciergerie - Paris

    "Poursuivant son travail en lien avec les éléments naturels, Stéphane Thidet opérera un détournement d’une partie de l’eau de la Seine, pour la faire s’écouler, puis serpenter à l’intérieur du monument avant de la restituer au fleuve, provoquant un glissement du cours naturel du fleuve. Après la crue de 1910, dont le niveau a laissé sa marque sur les colonnes du monument, l’artiste a souhaité que l’eau du fleuve s’introduise à nouveau entre ces murs de manière paisible et maîtrisée.

    A l’aide d’un dispositif technique élaboré, Stéphane Thidet créera un méandre éphémère, qui s’introduira dans la Conciergerie."

    http://www.paris-conciergerie.fr/Actualites/Detournement-de-Stephane-Thidet

    +

    Par les temps qui courent (Marie Richeux) du 18/04/2018 :

    Stéphane Thidet : "Faire taire le silence, pour faire hurler le monde"

    https://www.franceculture.fr/emissions/par-les-temps-qui-courent/stephane-thidet


  • Du 4 mai au 2 septembre à la Villette

    "Originaire du Japon et formé en 2001, le collectif protéiforme teamLab a fait du digital son credo. Il présente à La Villette sa première exposition monographique en France, par-delà les frontières de l’art, de la science, de la technologie et du créatif.

    Dans cette installation immersive et interactive, les visiteurs sont entourés d’images à 360° sorties tout droit de l’imaginaire de teamLab. D’inspiration à la fois électronique et organique, les tableaux évoluent en fonction des déplacements et des mouvements des visiteurs. L’exposition devient elle-même un organisme numérique vivant qui produit sans cesse de nouvelles images en rupture totale avec notre quotidien, pour un dépaysement onirique."

    https://lavillette.com/evenement/teamlab


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    Laurence De Leersnyder - Perspective de fuite à l’anglaise

    Laurence De Leersnyder - Perspective de fuite à l’anglaise

    Installation dans l’espace public
    Parc du Thabor - Rennes
    > 30 septembre 2017
     Commissariat et production 40mcube
    dans le cadre de la programmation Outsite
    http://www.40mcube.org/www/wp-content/files/dp_40mcubeoutsite_laurencedeleersnyder.pdf

  • 163,000 Light Years

     

    “A film that lasts 163,000 years, the length of time that it takes for the light that is traveling through space, to reach the Earth… What you see in a film, as in the sky, is always the past… It is, actually, the light that was emitted from the Large Magellanic Cloud 163,000 years ago… We, earthlings, are always convicted to watch the past…

    It is a film that if you were able to watch till the end, could become the present, as the soundtrack you hear comes from the collision of two large black-holes, 1.3 billion years ago, that is being now projected on Earth. Spacetime is not a fixed construction, but rather it is an action that can warp the length of the film before its end. Similarly to the waves that animate the surface of the salt flats in Uyuni, Bolivia, where the film was shot, gravitational waves ripple spacetime in waxing and waning movements warping a linear conception of time. Different temporalities appear, dimensions are projected, and epochs redefined: we are now becoming more-than-human or, for the first time, hopefully human. This is the light seen by the prehistoric spiders, hopefully not the only spectators of this film, which is eclipsed now. We are entering a new dimension, a new Era, from the Anthropocene to Aerocene… 163,000 years in action now…”
    (Tomás Saraceno, 2016)

    163,000 Light Years presented at the Museum of Contemporary Art of Monterrey (MARCO), Mexico, from June 30 to November 04, 2016. Curated by Gonzalo Ortega.

    see :

    http://tomassaraceno.com/projects/163000-light-years/

    +

    all the projects from T. Saraceno :

    http://tomassaraceno.com/

    Tomás Saraceno

     

     


  • AVA

  • Martin Roth

    I filmed a bird driving to the selton sea in california

    novembre 2014

     

    Martin Roth

    I grew grass on rugs

    mai-juin 2012

     

    http://martinroth.at/en/i-created-a-natural-soundscape-for-my-bonsai/

     


  • Carlos Cartama

     APUNTALAMIENTO DE UN DIARIO
    Journal shore up

    Untitled 01
    Mixed media. Acrylic, graphite, ink on journal paper
    Dimensions: 180x62cm

    2015

     

    Carlos Cartama

    ARTERE-A UNLIMITED

    2015

    (les détails de la série : http://carloscartama.com/ARTERE-A-UNLIMITED)

    Carlos Cartama

     Concrete 2.0 - Untitled 02
    Mixed media on digital print. Hannemüle paper on dibond. Series variable dim.

    2015

    >>>> http://carloscartama.com/ <<<<

     


  •  

     

    « D’une manière générale, par mes expériences, j’ai cherché à provoquer un comportement différent du spectateur (...) pour trouver avec le public les moyens de combattre la passivité, la dépendance ou le conditionnement idéologique, en développant les capacités de réflexion, de comparaison, d’analyse, de création, d’action. »

    Julio Le Parc
     
    "Artiste historique, figure influente de la création la plus contemporaine, Julio Le Parc bénéficie pour la première fois en France d'une exposition de cette envergure. Son art engagé est un art d’immersion où, grâce à des recherches sur la lumière et le mouvement, le visiteur est invité à découvrir de nouvelles manières d’interagir avec le monde. On découvre une pratique éloignée de tout psychologisme, un art qui participe d’une utopie sociale et qui, sur un mode industriel, participe à la reconstruction toujours en cours de notre environnement. Sur 2000 m², l’exposition au Palais de Tokyo permet d’appréhender toutes les facettes d’une oeuvre faite de peintures, de sculptures et d’installations monumentales. (...)"
     
    La suite de la présentation de l'exposition : http://www.palaisdetokyo.com/fr/exposition/julio-le-parc
     

    Julio Le Parc //  Palais de Tokyo >13/05/2013  

    Julio Le Parc, Cercle en contorsion sur trame, 1965-1966.

     

    Julio Le Parc //  Palais de Tokyo >13/05/2013

    Julio Le Parc, Surface couleur, série 23, n°14-11 (1970-2012)

     

     

    Julio Le Parc //  Palais de Tokyo >13/05/2013

    Julio Le Parc, Modulation 1154 (2008)
    Acrylique sur toile
    100 x 100 cm

     

    Julio Le Parc, né en 1928 à Mendoza (Argentine).

    Vit et travaille à Cachan (France)


  • Vincent Lamouroux

    A.R. 09 (2008), I.A.C, Villeurbanne

    Vincent Lamouroux

    A.R. 07 (2008), I.A.C, Villeurbanne

     

    Vincent Lamouroux

    Vincent Lamouroux

    Sol. 06 (2005), Faux mouvement, Metz.

    « Sol(s), propositions de sculptures arpentables en contreplaqué, installées in situ sur des surfaces allant jusqu’à 400 m2, trouvent leur origine dans l’observation d’une nature redessinée par l’homme pour allier praticabilité sportive et plaisir visuel paysager.» (Vincent Lamouroux)

    http://www.vincentlamouroux.net/

     

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    Vincent Lamouroux

    Loïe Fuller (1862 – 1928), unsourced

    L’un des nombreux dispositifs scénographiques inventés par la Loïe Fuller.

    (cette mise en rapport avec Loïe Fuller vient du site ART THROB : 'Etant donné que « l’art est un jeu entre tous les hommes de toutes les époques » (M. Duchamp), Artthrob souhaite créer des liens entre des œuvres, des faits scientifiques, des phénomènes, etc., sous la forme d’un jeu de domino élargi.'

    http://artthrob.free.fr/wordpress/?m=200909)

     

     ****

     

    Vincent Lamouroux

    Néguentropie (2012), Abbaye de Maubuisson, Saint Ouen L'Aumône

    Vincent Lamouroux

    Néguentropie (2012), Abbaye de Maubuisson, Saint Ouen L'Aumône


  • Céleste Boursier-Mougenot, "From ear to here" au 104 jusqu'au 17/03/2013

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